À la recherche du docteur Kassovitz

*Père Alexander, voyant leur désavantage, fit un signe à l'un des archers sur la balustrade le surplombant, ce dernier quitta son poste à la course et alla tirer un levier plus loin dans un petit couloir derrière lui. On entendit le bruit de chaines se relachants à grande vitesse et des grilles en argent tombèrent pour bloquer toutes les issues; les humains étaient préparés. Sur la gauche du père alexander, une trape s'ouvrit et de cette trappe émana un large tuyau de fer d'ou émanait à grande vitesse une vapeur qui commançait à emplir la pièce.*

Père Alexander: N'ayez pas peur, ce n'est que de la vapeur d'eau....bénite et dilluée au nitrate d'argent et à l'ail, un dosage exquis...tout à fait innofencif...pour un humain dumoin. On a remarqué que vous étiez très agiles et qu'il était difficile de vous toucher avec des flèches ou des balles, alors nous avons penser qu'il vous serait d'ifficile d'éviter de toucher l'air *AHAHAHAHAHAHAHA*

*Les effets du cocktail se faisaient déjà sentir peu à peu au fur et à mesure que la pièce se remplissait. Dans son coin, green était couché sur le sol, faible et pratiquement incapable de bouger, il avait le poignet en sang et y trempait son doigt pour dessiner sur le sol un cercle étrange sur les dales de pierres du plancher. *

Green: Quand jce sera fini, donnez moi du sang, beaucoup de sang.....et restez loin de moi tant que ce ne sera pas fini....."De mon corp affaibli coule le sang de mes ancètres, le sceau sacré est brisé, et j'en appel aux mondes d'en dessous, la puissance renouvelée et le prix du sang payé...le sceau sacré est RÉPARÉ!!!!!

* à ce dernier mot Green posa la main au centre du cercle et fut prix de tremblements, ses yeux s'injectèrent de sang, ses plaies devinrent rouge vif, son sang devint luisant, ses crocs et ses griffes doublèrent de longueur et son regard devint vide. De sa position couchée au sol, il se propulsa avec son bras à une vitesse fulgurante, passa au dessus de Liya, arracha de ses griffes la tête du père Alexander et termina sa chute contre le mur d'ou sortait le tuyau de fer avec un bruit sourd, comme s'l n'avait jamais prévu s'arreter avant le mur. Il tenait acroché au mur avec ses griffes de la main gauche encastrées dans le mur et il plaqua la tête de l'écclésiastique dans le tuyau pour arreter le flux de gaz. Il tourna brusquement la tête vers l'un des archers sur la balustrade et bondit une fois de plus, reçut au vol une flèche dans l'épaule qui perça de part-en-part. Il ouvrit la gorge de l'archer de ses crocs et ne lâcha pas prise avant que l'archer soit vidé de son sang. L'archer de l'autre coté de la salle, voulant protéger son ami, fit feu en direction de Green, qui se tourna et bloqua la fleche avec le corps de sa proie inerte et vidée de son sang. Il lançat la dépouille de l'autre coté de la pièce, faisant tomber à la renverse l'archer restant. Sa tête se tourna vers Grimlock le lycan....

À l'entrée du tunel menant à la pièce, Élianor, qui suivait Green à la trace, vit son aura vert se faire envahir par un mélange de rouge vif et de noir goudroneux et visqueux, quelque chose n'allait pas. Elle se précipita dans le tunel et arriva à la grille d'où elle voyait Green perché sur une balustrade, il était maculé de sang et regardait Grimlock d'un air affamé. Les dons d'Élianor lui montèrent à la tête et elle vit un tunel d'énergie rouge dans lequel coulait un liquide noirâtre qui liait Green à son cercle, toujours sur le sol. Le liquide émanait du cercle et coulait directement dans l'aura de Green et faisait disparaitre petit à petit tout le vert qu'il y avait.*

Élianor: LE cercle!! détruisez le cercle!!!!!

*à ces mots Green s'élançat vers Grimlock tout crocs et griffes dehors...*

[HRP: je laisse green en mid-air pour vous laissez le temps de réagir. Une fois le cercle brisé, green devra tombé inconscient et se vider rapidement de son sang qui sera devenu noirâtre.]

La voix de sa fille résonnait dans sa tête… Isil-Yar, celle qui n’avait besoin de personne bondissait d’un toit à l’autre, le serrement qu’elle ressentait dans sa poitrine l’embêtait énormément. Elle tentait de se convaincre que ce n’était dû qu’à la crainte de devoir tout recommencer.

Isil n’avait pas l’étoffe d’un leader. Elle avait choisi Gaëlle-Alixe parce qu’un clan lui était indispensable pour accomplir la tâche qui lui était échut. Mais voilà, Gaëlle était maintenant en danger ! Donc le clan était en danger, donc la mission d’Isil risquait d’échouer !

De toutes ses forces, la matriarche tentait de se convaincre que son inquiétude n’était dû qu’à cela. Même si un accès de sincérité lui aurait fait avouer qu’elle était plus maternelle qu’elle ne voulait l’admettre. Et son enfant était en danger !

Sans même réfléchir elle filait comme le vent, son instinct suivant un invisible fil d’Arianne. Elle devait arriver avant que Gaëlle ne rompe le lien, sinon ce fil psychique se briserait et sa fille, pardon, la fondatrice du clan, serait perdue.

Elle atterrit brusquement sur une crypte. À l’intérieur de la poussière tomba sur la tête de la belle Gaëlle. Isil-Yar put voir disparaître dans le boisé non loin un groupe de jeunes mortels.

Isil : Courrez mes agneaux. Mais si, ne serait-ce qu’une seule molécule, de votre odeur se trouve sur ma fille… Vous allez me supplier de vous laisser mourir…

Le cimitière dans lequel elle se trouvait était abandonné. De son poing Isil défonça le toit de la vieille crypte décrépite...

L'esprit de la matriarche était déjà empli d'une colère sourde. mais dès qu'elle senti sur sa fille cette odeur !
Cette odeur qui ne laissait aucun doute qu'un mâle avait assouvie ses désirs... Et Gaëlle-Alixe qui la bombardait de question, de toutes évidence elle n'était même pas consciente de ce qui lui était arrivé.

Cependant, les questionnement de sa fille coupèrent nets lorsque cette dernière senti l'odeur de menthe poivrée émanant de sa mère. Gaëlle vit alors une chose qu'elle n'avait encore jamais observé chez sa créatrice, son regard flamboyait rouge et son visage, déjà lisse et blanc comme le marbre avait l,air encore plus dur et fremé qu'à l'ordinaire.

Isil : Gaëlle, vous empestez ! Aller vous laver et trouvez quelque chose de moins miteux à mettre.
Gaëlle : Mère, où sont les autres ?
Isil: PLUS TARD ! OBÉISSEZ...
Gaëlle: Et comment vous retrouverais-je ?
Isil (avec un sourire carnassier): Suivez les hurlements....

D'un bond, ne laissant aucun temps à la fondatrice du clan pour répondre, Isil venait de disparaître....

=*= *** =*= Quelque part dans la forêt =*= *** =*=

Passe-muraille était fier ! C'était la plus belle nuit de sa vie. Il avait passé l'initation. Il était maintenant membre à part entière du gang des esprits-voleurs... Cet groupe de bandit de grands chemin qui se terraient dans les cimetières était l'un des plus orangeoutés de Dublin.

Et l'initation avait été facile ! La fille ne s'etait même pas débattue ! Elle devait être droguée ou ivre, une prostituée, certainement. Quand il avait ouvert le mécanisme de la crypte, les 5 autres membres du groupe lui avaient automatiquement donné son nouveau nom : "Passe-Muraille".

Leader du groupe: Et Passe-Muraille. Faudra que tu nous explique comment t'as fait pour que la fille se débatte pas...
Homme 2 (lui donnant une grande tape dans le dos) : Ouais... et qui c'est ce Florik ?
Passe-Muraille (rigolant) : Si vous voulez, allez lui demander.
Homme 3 : T'es pas fou ? Moi elle me faisait froid dans le dos avec ses yeux étranges, sa peau blanche et son manque total de réaction.
Leader: T'es amoureux d'elle ou quoi ?
Homme 3 (avec un frisson de dégout) : NON !
Homme 4 : Elle avait des beaux bijoux par contre...
Leader (lui arrachant les bijoux des mains): Ça, c'est pour moi...
Homme 2 : C'est quoi cette odeur ?
Homme 4 : HOOOOOOOOOOOOO !

Mais le cri du quatrième homme n'était pas dû au fait que le chef de la bande lui avait arraché les joyaux des mains. Non, en fait, il venait de se buter à ce qu'il croyait être un arbre.

Sauf que cet arbre le fixait d'un regard rouge et flamboyant. Et que cet arbre était une femme.

Leader : ho... Ma jolie. Que fais-tu seul dans les bois ainsi ? C'est dangeureux, on y rencontre toutes sortes de bandits...
Passe-Muraille (pouffant de rire): Ouais, comme nous...

Les 6 hommes se rapprochaient menaçant de la femme. Mais elle ne bougea pas... Ce qui inquiéta le plus nerveux des six.

Homme 3: Heu, les gars, cette pute ne me dit rien qui vaille...
Homme 2 : T'as dis la même chose de l'autre salope qui est au fond de la crypte.
Passe-Muraille : Ouais, relax mec. On est six et elle est seule...

D'un mouvement si rapide que leurs yeux de mortels ne purent voir que le résultat, Passe-Muraille se retrouva sur le sol, les deux genoux brisés et se tordant de douleur.

Isil (et oui c'était bien elle, vous l'aviez deviné n'est-ce pas ? ) : Faux, vous êtes maintenant 5...
Leader (sortant son couteau): Tu va regretter ça pétasse !

Mais avant même que les autres n'aient eu le temps de sortir aussi leur armes, le dit Leader avait été projeté dans les branches d'un arbre. Les 4 autres hommes prirent la fuite. Mais implacablement, usant de la vitesse surnaturelle. Elle les ramena et le brisant les genoux les immobilisa aussi bien que le premier.

Leader descendait lentement de son arbre, tentant de faire le moins de bruit possible afin de fuir...

Isil: Lâche, n'es-tu pas le chef de cette troupe de dégénérés ?
Leader: M-m-m-moi ? N-n-non....
Homme 2 (sanglotant): Oui c'est lui ! Par pitié Madame, c'est lui qui a tout fait... prenez-le et laissez-nous...

La Vampire eu une moue de profond dégoût devant autant de lâcheté. Elle sortit sa vieille épée qu'elle avait baptisée Hathar et tenant le leader par le cou elle l'épingla sur un arbre. Prenant le soin qu'il ne meure pas de cette blessure, mais aussi qu'il ne puisse se libérer.

Isil : Déjà, créatures immondes et mortelles, votre existence même est une souillure sur la face de l'univers... Mais vous avez eu l'audace de toucher MA Fille !

Une vague insoutenable de douleur, de colère, de rage et de culpabilité envahie Isil-Yar. C'était de sa faute. Elle aurait dû prévoir que Gaëlle réagirait aussi mal à la mort de Loric. Mais Isil avait si longtemps nié le pouvoir des sentiments, qu'elle avait oublié et ainsi faillit à son rôle de Matriarche. Elle ne pouvaient pas effacer ce qui était, mais ces vers immondes allaient payer...

Isil: Qui a été le premier ?

Silence....

Isil s'approcha du plus lâche du groupe et se pencha sur lui menaçante. Mais ce fut d’une voix douce qu'elle dit...

Isil : Qui?
Homme 3: P-pa-passe-Muraille... C'était son in-in-in-initation...

La matriarche eu, de nouveau, une moue de dégoût profond. L'homme venait de faire dans son pantalon... Elle se tourna néanmoins vers le-dit Passe-Muraille qui gémissait au pied de son arbre, le saisit à la gorge et le plaqua contre un énorme chêne.



L'homme hurla de douleur Alors de d'un mouvement sec elle lui arracha les parties mêmes dont il venait de se servir afin de passer son initiation pour être un esprits-voleurs...

Isil (feignant la compassion): Ho... Pauvre choux... À mon tour maintenant de prendre mon plaisir !

Et elle le lassa choir sur le sol, sortant les crocs elle se pencha au dessus de la plaie bétante et vida l'homme de son sang sous les regards affolés des autres...
Homme 3 : Pitié Madame... Vous avez eu votre vengeance... Par pitié...
Leader (Sanglotant): Elle est vengée votre fille ! Je vous en supplie...

Ignorant leur sanglots et suppliques Isil émascula chacun des 4 hommes qui gisaient sur le sol, les genoux brisés. Elle prit grand soin de leur faire reprendre conscience, afin qu'ils ne manquent aucune seconde du spectacle et de la souffrance qu'elle leur offrait.

Finalement, elle était abreuvée du sang des 5 hommes, son teint était rose, elle semblait presque mortelle, n'usse été de cette lueurs rouge au fond de ses yeux et de cette écœurante odeur de menthe poivrée qui embaumait l'air autour d'elle.

Elle s'avançât vers le leader du groupe toujours maintenu empalé sur son arbre grâce à sa fidèle Hathar. Sa démarche était langoureuse, sensuelle. Petit à petit son regard s'adoucit.

Isil: To i mon agneau je te réserve un traitement spécial....

Le libérant, elle le prit dans ses bras et enfonça avec tendresse ses crocs dans la chair de son cou. L'étreinte était presque tendre et l'homme eu un sursaut d'espoir fou.

Il s'agrippa au cou de cette créature. Sa peau était douce et chaude, son odeur enivrante. Il poussa un gémissement de plaisir auquel se mélangeait le soulagement. Dans son délire, il la voyait comme un ange vengeur qui venait lui offrir une seconde chance. De nouveau il la serra dans ses bras. Jamais cette homme n’avait éprouvé un tel sentiment de contentement et de douceur.

Tranquillement, il faiblissait. Mais Isil n'en avait pas terminé avec lui. Avant qu'il ne meure, elle ouvrit la veine de son poignet et le porta aux lèvres du leader qui but avidement.

Isil: Suffit mon agneau... C'est assez.
Leader: Davantage... il m'en faut plus !
Isil (ricannant): Tu crois vraiment que je ferais de toi l’un des nôtres ? Tu en a assez but pour survire à ce que je te ferai. Mais pas suffisamment pour trouver assez de force afin d'aller te cacher avant que le soleil ne se lève.
Leader: Qu'allez-vous me faire ?
Isil: Mais la même chose qu'au autres voyons !

Accompagnant la parole du geste, elle se saisi des organes mâles de ce lâche et effectuant un mouvement de rotation brusque les arracha. Pas encore métamorphosé, mais ayant en lui juste assez de sang vampire pour ne pas perdre conscience sous la douleur il poussa un hurlement.



Isil: N'ai crainte. Je ne suis pas un monstre. Au lever du soleil ta souffrance cessera. Mais d'ici là, je ne voudrais pas que tu trouve un refuge...

Prenant l'épée même qu'il avait tiré contre elle au début de l'altercation, elle l'empala de nouveau dans l'arbre. Puis, par mesure de sûreté, elle se saisit de la dague d'au autre des hommes pour lui couper les bras juste sous les épaules. Elle fit de même avec ses jambes.

Leader (d'une petite voix faible): Pourquoi ne pas me tuer comme les autres ?
Isil: Tu est leader, donc responsable de ce que tes subordonnés font. tu dois souffrir leur souffrances... Mais n'ai crainte. Au lever tu soleil, tu mourras. Sans bras et sans jambes, tu es encore plus impuissants qu'un papillon dans une vitrine. Aussi impuissant que ces femmes qui furent violées par ta faute.
Leader: Qu'arrivera-t-il au lever tu soleil ?
Isil: L'oeil de RHÄ viendra purifier la terre... Tu souffriras, horriblement. Avant que ce ne soit la fin pour toi.

Liya ouvrit les yeux péniblement ... elle avait mal partout mais celà lui importait peu... Quelque chose au fond d'elle lui disait que quelqu'un du clan souffrait ...

Lentement elle se releva et regarda autours.... L'odeur du sang frais lui parvient et son premier mouvement fu d'essayer de trouver de quoi s'abreuver. Cependant son regard se posa sur Greenerion.

Liya se lanca alors sur le cercle et le brisa en effaçant une ligne. Green tomba inconscient et atterit violemment sur Grimlock.


L'ex nonne hésita. Le sang commencait à lui faire tourner la tete mais malgré tout son attrait, elle ne pouvait ignorer l'un de ses voeux de religieuse ... Aider autrui et manifestement Green en avait besoin..

* Seigneur, je n'aurai jamais pensé qu'il entrait dans Vos plans d'aider une créature telle que Green mais je sens que c'est ce que je dois faire*

Elle s'agenouilla a coté de Green et doucement l'abreuva de sang....

Isil et sa fille, Gaelle filaient comme le vent. la Matriarche n'avait aucune idée de ce que son enfant pensait de tout ce qu'elle avait fait. Et elle s'en fichait pas mal. Gaëlle-Alixe était vengée, c'est montres ne pourraient plus faire souffrir d'autres femmes... et la clan était...

LE CLAN! Cette pensée ramena la vieille vampire à la réalité du temps présent. Dans son urgence de voler au secour de la fondatrice du clan, Isil avait laissé le clan seul face à une menace terrible... Le Père Alexander....

Ce vieux renard avait plus d,une tour dans sa poche. Et ses tours, il les enseignait au père Alexander qui allait lui succéder. Ce dernier y ajoutait les siens...

Acélérant encore plus le pas Isil arriva enfin dans la cave où se trouvait le reste du clan qui avait entreprit cette quête. Ce qu'elle vit l'enchanta et la désola tout à la fois.

Isil: Je constate que le Père est mort... Ainsi que ses acolytes.

Liya (bondissant vers sa mère) : Il faut aider Greenerion... IL SE MEURT !

En effet, le voleur avait un teint cendreux. Sa peau était fragile et il semblait prêt à tomber en poussière au moindre toucher... Isil, gorgée de sang s'agenoilla près de lui et, le prenant dans ses bras avec une délicatesse et une tendresse non feinte, lui offrit sa jugulaire.

*Green regagna un peu conscience grâce au sang de Liya et vit la jugulaire Qu'Isil lui tendait. Ses yeux étaient pleins d'effroi, de craintes et d'incertitudes. La voix tramblante, il se mit à répéter ces quelques mots : "Plus jamais, plus jamais, plus jamais..." et il planta ses crocs dans la gorge d'Isil, tremblant comme une feuille. Une fois Rassasié, et le teint plus normal, il retomba sur le dos, sur le sol, tremblant et répétant encore...*

Plus jamais, plus jamais, plus jamais...

Elianor était en état de choc, une panique totale l'avait assaillie quand elle avait vu Greenerion dans cet état. Elle avait eu la conscience de demander à détruire le cercle, ce que Liya avait fait rapidement, heureusement.
Quand Isil et Gaëlle étaient arrivée, elle n'avait pas bougé, prise dans un immobilisme tragique, complètement désamparée. Isil prenait maintenant soin de Green, et elle n'arrivait pas à articuler le moindre mot en réponses à ses questions. Ses lèvres tremblaient, et une goutte de sang roulait sur sa joue, trop de sensations, trop d'émotions avaient envahies sa frèle personne en si peu de tant. Elle tomba a genoux, les mains sur la tête.
Puis elle entendit la voix de sa mère:

Et quelqu'un pourrait-il m'expliquer ce qui s'est passé ici ?

Alors elle reprit ses esprits, et se lança vers Greenerion. Alors qu'il s'abreuvait encore du sang d'Isil, elle se mit à lui carresser les cheveux, si tendrement.

Non... Plus jamais Green, plus jamais je ne te laisserai faire une telle chose. Si tu avais vu ce que j'ai vu. J'ai eu si peur... Ça va aller maintenant...

Et Elianor, ne se souciant plus des autres, posa un baiser sur le front de Green, sanglotant de soulagement de le voir reprendre des forces, mais encore terrorisée d'avoir passée si proche de le perdre.

Liya était adossée a un mur de la pièce... Elle reprenait son souffle et essayait de calmer sa rage... Mais malgré tout ses efforts elle ne put s'empecher de laisser sa colère s'exprimer...

Mère, vous etes de retour... Où étiez vous passée? Vous nous avez abandonnés ....

HS: Désolé de pas faire bcp plus mais je suis en pleine session d exam et j ai vraiment pas de loisir.... En ai marre

*Green toujours trop faible pour se rendre compte de quoi que ce soit et toujours en train de délirer à cause des contrecoups de l'utilisation d'un sort trop puissant pour lui dans une situation désespérée, gisait toujours sur le sol, les yeux fermés.*

Continuant ses caresses dans les cheveux de Greenerion, Elianor répondit finalement à Gaëlle.

Je ne saurais trop vous dire Isil ce qui s'est passé ici, car à mon arrivé, la pagaille règnait déjà. Tout ce que je sais, c'est que j'ai senti Greenerion disparaître, s'affaiblir, comme englouti par une force étrange. J'ai alors demandé à briser le cercle qu'il avait tracé. et c'est Liya qui l'a libéré de ce sortilège. Il s'apprêtait à attaquer Grimlock... Je ne sais pas trop... Il était comme fou...


Elle prit une pause et tourna un regard implorant vers sa grand-mère.
Il s'en sortira, n'est-ce pas Isil? Dîtes-moi qu'il ira mieux!

Elianor regarda Grimlock s'emparer de Greenerion, et lui répondit:

Connaissez-vous vraiment un endroit sûr pour des créatures comme nous?!

Le sarcasme d'Elianor ne sembla pas plaire à Grimlock.

Bon, ça va, j'ai compris! Nous étions passée devant le Trinity College Mineria et moi, et j'ai remarqué tout au fond de la cour une grande remise, ça doit être là qu'ils gardent les outils pour entretenir les jardins. Ce n'est pas vraiment très loin d'ici, et je crois que nous serons tranquille.

Liya suivit le groupe pendant qu ils cheminaient le long du chemin.

Elle avait un mauvais pressentiment. L'ordre du père Alexander ne les laisserait jamais en paix... Il fallait trouver l'elixir du docteur Kassovitz au plus vite.

Intérieur de la remise.

La remise ne payait pas de mine mais elle protégeait de la pluie et du froid. Avant que quelqun un prenne la parole, Liya exprima son point de vue.

Je penses que nous devrions nous séparer. Quelques membres pr veiller Greenerion tandis que le reste se lancera a la quete de l elixir.

Moi je reste, pas question que je le laisse dans ce état.
Mais Liya a raison, on doit pousrsuivre nos recherches de l'élixir.

Mineria qui avait suivit l'embuscade en silence depuis le début, décida qu'il était temps de reprendre les recherches.

Écoutez-moi tout le monde! Je sais que Grennerion est mal en point, aussi il va falloir une personne pour le surveiller, mais nous autres, nous allond devoir continuer la mission. Il nous trouver ce pourquoi nous sommes venus.

Isil grogna dans un coin...

Isil : L'Église catholique est impliquée. Je rpopose que nous allions fouiller le monastère des Jésuites. S'ils nous ont envoyé un Père Alexander, c,est qu'ils en savent beaucoup.

Plus bas elle ajouta : Beaucoup trop...

Liya releva la tete aux mots monastère. Celà lui faisait bizarre de retourner dans un monastère.

- Allons y alors. Plus on attend, plus on permt à nos adversaires de mettre en place une contre attaque. Qui reste avec Green?

*Green qui commençait à reprendre de ses esprit, mais toujours dans un état plutôt lamentable dit* :

Ouais *kof kof*, qui reste avec moi, faudrait pas que j'attrape un*kof!* rhume *ha kof..ha*...ow....Isil... *c'était pénible de parler encore, alors il ne bougeait pas d'où il était non plus* c'est inutile d'aller voir les Jésuites, ils ne savent rien de plus que nous....c fou comme mes méthodes pour receuillir de l'information sont efficaces hein...Ow....ok ok c'était pas volontaire, mais j'en ai appris un peu quand meme en me faisant torturer... les questions qu'il posait, suposait qu'il ne connaissait pas les réponses à ces dites questions, alors je ne sais pas ce qu'ils savent, mais je sais ce qu'ils ne savent pas...et je dirais qu'ils en savent autant que nous, mais pas plus. Ils savent que Kassovizt a créé une formule qui permettrait aux vampires de vivre le jour, et ils ne veulent pas ça, ils ont déjà assez de problèmes à régler avec les lycans le jour et nous la nuit...ils savent que la formule et le prototype ont été vollés, mais ignorent par qui. Ils savent aussi que plusieurs vampires sont à la recherche de cette formule et que plusieurs lycan aussi...en gros, la plupart des vampires veulent l'élixir pour améliorer notre race, certains le veulent pour s'assurer une suprémacie face au autre vampires, les lycans ne veulent pas nous voir le nez dehors le jour lorsqu'ils sont en forme humaine pour la plupart...et l'Église non plus. j'ai entendu les gens de l'Église parler au loin quand je faignais l'inconscience...bon je faignais seulement à moitié...d'acord au trois-quart..quoi qu'il en soit, ils semblerait que tous les ports de l'ile d'Angleterre sont surveillés et que personne n'est sorti de l'ile avec cette formule...ce qui restreint notre champ d'action à cette ile de plusieurs milliers de kilomètres carrés... et je....woh..j'ai la tête qui tourne *he kof he...Green reposa sa tête au sol, les yeux à moitié ouvert...*

Elianor avait toujours un regard inquiet, tourné vers Greenerion. Il reprenait des forces, mais elle le sentait si faible. Sa fierté dépassait sa faiblesse physique, il était aussi tête de cochon qu'elle.
Toujours une main dans ses cheveux, le caressant doucement, elle parla, sans relever les yeux.

Gaëlle, je crois que plus vous êtes nombreux pour chercher l'élixir, mieux ce sera, je peux rester seule avec Green, personne ne sait que nous sommes ici. Le décision est vôtre, mais moi, je ne bouge pas d'ici.

Elle parlait, ne se souciant plus de la conscience ou de l'inconscience de Greenerion, elle le sentait encore affectée, elle le veillerait aussi longtemps que nécessaire.

* Green, toujours d'une voix un peu faiblotte*

Je crois que vous ne devriez pas vous séparer pour l'instant, je peux prendre soin de moi-même sans problème, je serai rétabli dans quelques heures et je vous ratraperai si vous me dites où vous allez. Mais avant que vous partiez, est-ce que quelqu'un a la moindre idée de l'endroit où vous avez l'intention d'aller et ce que vous allez y faire? parceque notre piste est encore morte et nous ne savons meme pas si l'elixir est encore à Dublin. Je crois que nous devrions discuter d'un plan avant de se lancer tête baissée et à l'aveugle.

*Green grimaça un peu en tentant de se redresser pour se retrouver dans une position assise, appuyer contre le mur du petit cabanon.*